Déployer Azure Stack sur une configuration modeste

Déployer Azure Stack sur une configuration modeste

Microsoft Azure Stack est un nouveau produit de plateforme cloud hybride de Microsoft vous permettant de créer des services Azure dans votre propre Datacenter. Produit actuellement disponible pour réaliser des PoC, les prérequis sont énormes, débutant à 96 Go de mémoire et un CPU de 12 coeurs mais Microsoft préconise plutôt 128 Go de RAM et 16 coeurs. Diantre ! Voici quelques astuces pour réussir malgré tout à monter un PoC sur une configuration modeste. Je recommande 32 Go de mémoire mais aussi d’installer le PoC sur un/des SSDs.

Optimisation du Cluster Shared Volumes avec CSV-(Block)Cache

Optimisation du Cluster Shared Volumes avec CSV-(Block)Cache

Une des nouveautés de Windows Server 2012 au niveau du Failover Clustering est CSV-(Block)Cache, c’est à dire que l’on peut allouer de la mémoire vive en tant que cache write-trough. Cette nouvelle fonctionnalité permet la mise en cache des lectures uniquement (Read Only Unbuffered I/O) non bufferisées par le cache de Windows, ce qui améliore grandement les temps de lecture ! Il est intéressant de noter que le mécanisme de cache agit au niveau bloc et utilise la mémoire vive contrairement à d’autre solutions qui utilisent le SSD-Caching, pour information, la vitesse d’un SSD OCZ est de 1400 Mbps et la mémoire DDR3-2500 est de 20.000 Mbps !

La fragmentation dans les environnements SAN

La fragmentation dans les environnements SAN

Voilà un sujet qui ouvre le débat: Quid de la fragmentation versus les stockages de type SAN ? Nous sommes tous d’accord sur le fait que les performances E/S peuvent être affectées de façon significative selon le niveau de fragmentation du système de fichiers, surtout lors d’accès séquentiels. Certains benchmarks parlent de 33% de perte de performances sur un RAID-1. Essayons d’y voir plus clair…

Les performances du format VHD

Les performances du format VHD

Le format de fichier VHD initialement crée en 2003 a bien évolué depuis. Ce format encapsule une image disque dur et est  utilisé par Hyper-V, Virtual PC / Server, ou Windows 7 pour la fonction VHD Boot ou le montage en local (à l’aide de la DLL virtdisk.dll). Un fichier VHD peut être configuré de 3 façons différentes: taille fixe, dynamique ou différentielle. Voyons maintenant les performances de ce format de fichier.

Les contrôleurs de domaines en environnement virtuel

Les contrôleurs de domaines en environnement virtuel

Voici un billet qui recense les bonnes pratiques à propos des contrôleurs de domaines virtualisés mais également ce qu’il faut faire/penser pour procéder à une opération de P2V. Les conseils abordés ici doivent absolument être suivis à la lettre sous peine d’obtenir des USN Rollback, des corruptions majeures de la base Active Directory, … Ces conseils sont valables pour Hyper-V mais pour tous les autres hyperviseurs du marché également.

Migrer de Virtual Server SP1 vers Hyper-V (sans SCVMM)

Migrer de Virtual Server SP1 vers Hyper-V (sans SCVMM)

La virtualisation est vraiment dans l'air du temps, d'autant plus que Microsoft accentue sa stratégie dans ce domaine avec Hyper-V. La première solution de virtualisation, Virtual Server, était fort sympathique mais ne faisait pas le poids face à VMWare. Le tir est désormais corrigé avec Hyper-V. Mais comment migrer son infrastructure ?

Augmenter la taille d’un fichier .VHD [MAJ]

Augmenter la taille d’un fichier .VHD [MAJ]

Microsoft Virtual PC et Virtual serveur ne disposent pas d'une fonctionnalité pour augmenter la capacité d'un Virtual Hard Disk (VHD). En même temps, il est assez facile de sous-estimer les besoins de stockage d'une machine virtuelle. Cela peut poser problème, car si vous arrivez à la capacité maximale de stockage d'un VHD, vous devez créer un fichier plus grand et y copier l'image, à l'aide de Ghost, par exemple. Ces manipulations peuvent s'avérer longues et compliquées....